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Arab-Israeli conflict. --- Democracy -- Israel. --- Discrimination -- Israel. --- Segregation -- Israel. --- Palestinian Arabs --- Race discrimination --- Segregation --- Democracy --- Social conditions --- Politics and government
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La ségrégation scolaire, largement ignorée des médias, phénomène peu perceptible mais puissant, est une réalité sociale déniée. Elle renouvelle pourtant, progressivement et profondément, les modalités de scolarisation des élèves. Depuis la fin des années 1970, les transformations économiques et idéologiques (chômage structurel, déclassement des jeunes diplômés, individualisme croissant) ont accentué la course au diplôme, la concurrence scolaire, la recherche de la meilleure école, et ont débouché sur de nouvelles politiques éducatives. La promotion du "collège pour chacun", les politiques d'assouplissement de la carte scolaire, la "ghettoïsation par le haut" des établissements bourgeois sont des manifestations directes et indirectes des logiques ségrégatives actuellement à l'oeuvre. L'ouvrage présente des exemples précis et des données inédites. Les processus ségrégatifs ont accentué l'inégalité de l'école française: le destin scolaire des élèves est de plus en plus dépendant de leur origine sociale, l'écart entre les "forts" et "faibles" ne cesse de croître. Les comparaisons internationales permettent d'envisager des réformes qui seraient sources d'équité et d'efficacité.
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Ce film capte les fêtes sportives organisées pendant trois journées à Léopoldville à l'occasion de l'inauguration du monument dédié au roi Albert 1er. Accompagné d'un commentaire jovial et entraînant, il renforce les images de liesse qui accompagnent les défilés des soldats, des scouts et d'athlètes. La population est venue assister en nombre aux manifestations des "jeunes hommes, beaux spécimens d'une race forte et saine", ainsi que des fonctionnaires et officiers belges, des chefs autochtones en costume d'apparat et des anciens combattants. A la tribune, le gouverneur général Ryckmans. Comme de coutume, si l'ordre et la discipline sont de rigueur dans les défilés, les courses sportives et pseudo-sportives (course de brouettes, de chars romains, d'ânes) ainsi que le match de football entre les équipes de Léopoldville et de Stanleyville laissent la place à un ton bon enfant qui contraste résolument avec la martialité précédente. Le Te Deum à la cathédrale Sainte-Anne et la cérémonie religieuse à l'église Saint-Pierre donnent l'occasion à diverses sociétés paroissiales indigènes de venir saluer les autorités ecclésiastiques belges. La caméra montre ensuite les anciens combattants congolais rassemblés sur l'esplanade où trône à présent le nouveau monument érigé à la mémoire d'Albert 1er, décédé il y a 5 ans. Une urne symbolique est déposée en son sein. La cérémonie se déroule en présence de personnalités notoires dont le consul des Etats-Unis et le gouverneur général d'Afrique-équatoriale française, le commentaire indiquant que tous occupent "les rangs qui leurs sont réservés" (élèves des écoles, soldats de la Force publique, chefs autochtones, résidents européens, enfants européens), formant un panorama bigarré mais où une répartition physique différenciée de chaque groupe, et leur ségrégation, est visuellement marquée. Après l'arrivée du gouverneur et du vice-gouverneur devant la statue alors dévoilée au son l'hymne national belge, les orateurs se succèdent à la tribune. Ryckmans lance une phrase significative au défunt roi en ces temps troublés, annonciateurs d'un conflit international imminent: "Sous l'égide de votre fils formé par vous et, à votre image, nous jurons de persévérer dans la voie que vous nous avez tracée, nous jurons de ne pas nous laisser dépouiller de l'héritage de Léopold II, nous jurons de rendre plus belle et plus heureuse cette Belgique africaine qui nous est devenue plus chère parce que vous l'avez aimée". Des gerbes sont déposées devant le monument et un feu d'artifice clôture ces trois jours de festivités
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Défilé --- Commémoration --- Festivité --- Jeu --- Monument --- Ségrégation --- Sport --- Ville --- Congo belge --- Belgique --- Léopoldville
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En aval des chutes Pogge à Maï Munene, le fleuve Kasai, dont la source est située en Angola, devient navigable. C’est la descente du Kasai, d’une durée approximative de dix jours, qui est illustrée dans ce film muet. Après quelques explications générales sur les environs (végétation, commerce) et les types de bateaux à vapeur que l’on peut rencontrer, on touche un mot sur les riverains du fleuve. La caméra fait ensuite une brève escale à Bandundu, puis à la mission Monbali. Ces pauses permettent de se faire une idée des lieux accessibles par le fleuve, de se ravitailler en vivres frais et de filmer les populations locales ainsi que celles qui font partie de la traversée (l’entrepont leur est destiné). Le long du trajet, des postes à bois sont installés en bord de rive : sans eux, en effet, les bateaux auraient bien du mal à accomplir leur traversée régulièrement. Ce rare court métrage où le parti pris semble absent révèle une réalité de terrain filmée telle quelle, le cinéaste simple intermédiaire visuel des scènes qu’il capture dans son objectif
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Kasaï, fleuve --- Alimentation --- Commerce --- Fleuve --- Ségrégation --- Transport --- Congo belge --- Belgique
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En aval des chutes Pogge à Maï Munene, le fleuve Kasai, dont la source est située en Angola, devient navigable. C’est la descente du Kasai, d’une durée approximative de dix jours, qui est illustrée dans ce film muet. Après quelques explications générales sur les environs (végétation, commerce) et les types de bateaux à vapeur que l’on peut rencontrer, on touche un mot sur les riverains du fleuve. La caméra fait ensuite une brève escale à Bandundu, puis à la mission Monbali. Ces pauses permettent de se faire une idée des lieux accessibles par le fleuve, de se ravitailler en vivres frais et de filmer les populations locales ainsi que celles qui font partie de la traversée (l’entrepont leur est destiné). Le long du trajet, des postes à bois sont installés en bord de rive : sans eux, en effet, les bateaux auraient bien du mal à accomplir leur traversée régulièrement. Ce rare court métrage où le parti pris semble absent révèle une réalité de terrain filmée telle quelle, le cinéaste simple intermédiaire visuel des scènes qu’il capture dans son objectif
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Alimentation --- Commerce --- Fleuve --- Ségrégation --- Transport --- Congo belge --- Belgique --- Kasaï --- Kasaï, fleuve
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Muslims --- City dwellers --- Segregation --- Islam --- Social conditions --- Religious aspects --- Relations --- Hinduism.
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Minorities --- Minorities. --- Ethnic minorities --- Foreign population --- Minority groups --- Persons --- Assimilation (Sociology) --- Discrimination --- Ethnic relations --- Majorities --- Plebiscite --- Race relations --- Segregation
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Sur fond de musique quasi militaire, le commentaire explique d'emblée ce qui fait du Katanga le symbole, au sens propre comme figuré, de « richesse prodigieuse ». Telles les termitières géantes qui se dressent dans la savane herbeuse, la cheminée d'usine de traitement du cuivre pointe vers le ciel, elle est le symbole de la ville qui en dépend. L'homme y a créé sa «propre termitière» dans laquelle la transformation du cuivre se poursuit nuit et jour, à l'image des actifs insectes. Les images ainsi fixées sur ces deux contrastes saisissants, et qui se rejoignent dans cette allégorie des richesses naturelles exploitées par le travail (des insectes et des hommes), sont une entrée en matière logique du thème du film car la ville est née pour et grâce à cette industrie, délaissant «forêt et huttes» pour une «cité modèle» conçue par le colonel Emile Wangermée.Montrant les diverses zones d'activités de la ville blanche (commerce et affaires, hôtels au centre, bâtiments officiels et monuments), le cinéaste quitte rapidement le centre «surpeuplé» pour filmer les belles maisons à l'européenne, construites dans les quartiers résidentiels des alentours et habitées exclusivement par les coloniaux. La piscine du Lido constitue un espace de loisirs très prisé par ces derniers et, à l'exception d'une petite «nounou » congolaise qui témoigne de la présence locale, rien ne laisse envisager que l'action se situe en Afrique. Néanmoins, les Congolais possèdent aussi leur propre espace de vie, la cité indigène, reliée à la ville blanche par de larges avenues bordées de magasins. Le commentaire laisse sous-entendre et voir la transformation progressive des goûts et des pratiques de la population autochtone, «dans le sillage des Blancs», tout en affirmant son attachement pour ses habitudes «ancestrales». Ainsi, le marché est l'exemple-type où les Congolais continuent à vivre entre eux, «en famille», avec des aspirations et des goûts identiques qui les singularisent. Pourtant la voie du «progrès» est à la porte, comme le démontre la femme qui se libère peu à peu de son statut d'« esclave » pour devenir compagne et associée de son mari, selon le modèle occidental, et contribuer ainsi à la stabilité du ménage. De même, l'on reconnaît l'ambition «légitime» du Congolais à devenir propriétaire, pratiquer un commerce ou un artisanat, et le film montre le soutien dont il dispose dans ses ambitions, notamment dans la construction de sa maison.Le documentaire se clôture sur les «rançons du progrès»; se faire prendre en portrait, aller au bar et au dancing, travestis en «ladies en gentlemen», écouter un orchestre de jazz... bref, toutes manifestations qui semblent, pour le réalisateur, dégénérées. La preuve en est le commentaire final qui mentionne, sur un ton (faussement?) nostalgique: «Les temps ont bien changé... mais où sont les tam-tams d'autrefois?», comme si l'ordre des places et des rôles attribués dans/par la hiérarchie coloniale devait rester immuable, sous peine de chaos...
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Architecture --- Cité indigène --- Industrie minière --- Infrastructure --- Loisir --- Musique urbaine --- Rapport intercommunautaire --- Ségrégation --- Urbanisme --- Ville --- Congo belge --- Élisabethville
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A historical study with contemporary implications, their book offers a balanced view based on a thorough, sober look at where Norfolk's school district has been and where it is going.
Public schools --- African Americans --- Segregation in education --- School integration --- Desegregation in education --- Education --- Integration in education --- School desegregation --- Magnet schools --- Race relations in school management --- School segregation --- Discrimination in education --- Afro-Americans --- Black Americans --- Colored people (United States) --- Negroes --- Africans --- Ethnology --- Blacks --- Common schools --- Grammar schools --- School funds --- Secondary schools --- Schools --- History. --- Integration --- Segregation --- Black people
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World history --- anno 1600-1699 --- anno 1700-1799 --- anno 1800-1999 --- Discrimination in housing --- Segregation --- Urban policy --- Urban minorities --- Discrimination dans le logement --- Ségrégation --- Politique urbaine --- Minorités en milieu urbain --- History --- History. --- Histoire --- Minorities --- Housing --- Ségrégation --- Minorités en milieu urbain --- Cities and state --- Urban problems --- City and town life --- Economic policy --- Social policy --- Sociology, Urban --- City planning --- Urban renewal --- City dwellers --- Desegregation --- Race discrimination --- Fair housing --- Housing, Discrimination in --- Open housing --- Race discrimination in housing --- Segregation in housing --- Housing&delete&
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